
Mifistou, Frérot, le jour se lève, vois-tu le bleu se voiler de l’hymen matinal? Perçois-tu le chant du merle? Ecoutes-tu le clapotis de la source? Quant à nous, nous serons toujours pareils à khouna Sisyphe, arpentant la montagne et cherchant sans cesse l’innocence de nos espoirs inassouvis.
De retour demain. Ce soir, je sors admirer le fleuve. 
Pour mon adorable Mifistou
11 lundi Juil 2005
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