Le premier écrivain, le premier roman: Harrouda. Le père Jean Ruhl de la Maison estudiantine me surnommait « la pagaille ». Le livre qui me marqua le plus fut sans aucun doute La plus haute des solitudes. Depuis que mon père a quitté ce monde, je feuillette de plus en plus Jours de silence à Tanger que je lui avait offert il y a presque 15 ans. J’imagine les journées de solitude de mon père après que ses meilleurs amis soient morts. Je les imagine aujourd’hui faisant la fête quelque part.
Tahar Ben Jelloun
16 jeudi Juin 2005
Posted Uncategorized
in