Le premier écrivain, le premier roman: Harrouda. Le père Jean Ruhl de la Maison estudiantine me surnommait « la pagaille ». Le livre qui me marqua le plus fut sans aucun doute La plus haute des solitudes. Depuis que mon père a quitté ce monde, je feuillette de plus en plus Jours de silence à Tanger que je lui avait offert il y a presque 15 ans. J’imagine les journées de solitude de mon père après que ses meilleurs amis soient morts. Je les imagine aujourd’hui faisant la fête quelque part. Posted by Hello