Mots-clés
addik, Baaziz, cocotte maghrébine, Je m'en fous, je m'en foutisme ambiant, la justice de chez nous, Nizar Qabbani, nos coqs, poésie arabe, The Rooster
De retour. Bizarre comme sensation, entre deux rives, deux mondes, deux univers. Nullement envie de raconter, car il est des moments qui ne se traduisent ni ne s’expriment. Et puis, être avare de ses sensations et émotions, ce n’est pas si mal non plus.
Un immense merci à ceux et celles qui ont eu la gentillesse de se déplacer, de téléphoner et de m’avoir permis de sortir quelques heures. Mea culpa et toutes mes excuses aux non-arabophones pour ce qui suit. Plus ça change, plus c’est pareil.
Et tiens, un peu de Baaziz avec son fameux Je m’en fous!