Tenter de comprendre ce que c’est d’être prisonnier de son propre corps, de réapprendre ces petits gestes si vitaux comme se nourrir, se laver le visage, se brosser les dents, s’habiller, retrouver un tant soit peu son autonomie. T’observer travailler chaque muscle, réaliser à chacun de tes mouvements combien grande est ta détermination de t’en sortir.
Dis, comment sommes-nous devenus pourvoyeurs d’encouragements alors que pendant toutes ces années d’existence tu n’eus pour seul plaisir, unique bonheur, ultime mission que d’être notre roc de Gibraltar?
Douleur sourde contre l’adversité, mais me suis perdue dans ton regard et le sien pour y puiser encore plus de force. Ai préféré transcender afin de mieux, de mieux quoi en fait? Tout simplement mieux ressentir ta douceur quand tu poses ta tête sur mon bras. De mieux t’écouter et boire chacune de tes paroles. De faire le plein de ton amour et affection comme si cela était possible.
Les mots n’ont plus aucun sens, même les plus beaux sont indignes de toi. Un jour prochain, nous danserons ensemble, promis nous te taquinerons pas, mais verserons des larmes de joie en chantant Besame mucho en admirant une fois de plus cette magnifique prestance qui est tienne.
Inchallah
Fhamator, merci. T’es chou!
Mwah
Joli texte, comme je les aime!
Face le ciel qu’elle se porte mieux, pour le bonheur des siens et de là de nous autres, les potes!
Big Mouah as you used to say!
Elle est mon bonheur, elle est ma perte. Je, tout comme toi, trouve que les mots n’ont plus de sens. Nul bonheur tant que l’ Epreuve dure. Elle est Reine et le sera davantage. Que nous veut Dieu ? Tiens bon, tiens bon. Lli maqetlek, iqqewik. Injustice se fait justice, qu’elle le veuille ou non. Tiens bon. Nul autre choix ne nous reste.