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C’était l’été ou était-ce l’automne? Je ne m’en souviens plus très bien et encore moins du raz de marée dont on m’a parlé. Tout ce dont je me souviens est ton regard qui n’a pas bien changé malgré les années, tu étais le soleil qui effaçait la grisaille. Les années ont passé et jamais ne t’ai-je dit que je t’aimais. C’est fait, te quiero a rass tarrou 🙂
Il n’est jamais trop tard de se faire du bien et surtout dire « je t’aime »… 🙂
hahahaa!
je rappellerai la guapetona du Chili de le ressortir à tu sais qui, ça réveillerait peut être les premières flammes 😀
rah tarou match avec kanbghik we nmout 3lik :)))
C’est bon de te retrouver de si bonne plume 🙂
Mwah
Instantanément ton billet m’a fait penser à la chanson de Jeanne Moreau
J’ai la mémoire qui flanche
Je me souviens plus très bien
Comme il était très musicien
Il jouait beaucoup des mains
Tout entre nous a commencé
Par un très long baiser
Sur la veine bleutée du poignet
Un long baiser sans fin
J’ai la mémoire qui flanche
Je me souviens plus très bien
Quel pouvait être son prénom
Et quel était son nom
Il s’appelait, je l’appelai
Comment l’appelait-on
Pourtant c’est fou ce que j’aimais
L’appeler par son nom
J’ai la mémoire qui flanche
Je me souviens plus très bien
De quelle couleur étaient ses yeux
Je crois pas qu’ils étaient bleus
Étaient-ils verts, étaient-ils gris
Étaient-ils verts de gris
Ou changeaient-ils tout le temps de couleur
Pour un non, pour un oui
J’ai la mémoire qui flanche
Je me souviens plus très bien
Voilà qu’après toutes ces nuits blanches
Il ne reste plus rien
Rien qu’un petit air
Qu’il sifflotait
Chaque jour en se rasant:
Padadoudidoudadoudé doudoudidoudidou
Ah!!!
J’ai la mémoire qui flanche
Je me souviens plus très bien
Habitait-il ce vieil hôtel
Bourré de musiciens
Pendant qu’il me, pendant que je
Pendant qu’on faisait la fête
Tous ces saxos, ces clarinettes
Qui me tournaient la tête
J’ai la mémoire qui flanche
Je me souviens plus très bien
Lequel de nous deux s’est lassé
De l’autre le premier
Était-ce moi, était-ce lui
Était-ce donc moi ou lui
Tout ce que je sais, c’est que depuis
Je ne sais plus qui je suis…
Une grosse bise à toi
Bonjour mesdames,
Kalimate jamais trop tard indeed.
Waaayli, tu la feras rire, certain. Un mwah si tu la revoir sous peu.
Kenza, il faut se secouer de temps en temps et c’est ce que je fais, histoire de chasser la grisaille du printemps.
Michèle, elle est magnifique cette chanson. Merci infiniment. Ai pensé à toi car était par moments entourée de monde de Strasbourg.
Mwah et excellente fin de semaine,
Rass Tarro a bien de la chance de recevoir cette déclaration d’amour.
Et comme chacun le sait, tout « tarro » qui se respecte, doit avoir un couvercle qui se ferme hermetiquement, mais s’ouvre en temps utile.
J’espère qu’il s »ouvrira pour entendre ce cri d’amour qui vient d’un coeur nomade mais attaché à ses premiers amours et ses racines 🙂
Al-Maghribi, j’adore ton commentaire 🙂 Merci de ton passage.
Les filles, veuillez excuser la typo je me préparais à parcourir 600kms aujourd’hui donc ai pianoté à la hâte.
Mwah,
C
Ca rime » te quiero a rass tarrou » 😉
Ravie pour toi lalla que tu sois de si bonne humeur. Et il a de la chance le « rass tarou » 🙂
Marocaine, à force d’être avec du monde qui joue avec les mots, c’est sorti tout naturellement 🙂 moi qui ne suis pas fortiche je peux dire que cette fois j’ai provoqué un fou rire qui a duré une bonne demi-heure 🙂
Mais le meilleur fut à Marrakech Menara, cela mérite un billet tellement le fou rire aurait pu nous causer des embrouilles.
Mwah
here is a scene from « pretty women:
Vivian: what’s going on?
Edward Lewis: I don’t know, you left and suddenly I’m in the middle of The West Side Story. :))
Moh
Moh, how I missed your wit! 🙂
Mwah