A toi, mon fils, toi qui ne cesses de m’étonner. A toi l’adolescent qui bientôt te rebelleras, penseras que je suis démodée, à côté de mes pompes etc.. A toi que j’ai trop couvé, trop protégé toi qui m’étonnes depuis que je suis retournée travailler. A toi, toi qui me démontres chaque jour que tu es un jeune homme responsable et un enfant admirable. A tes choix musicaux qui me surprennent et me réconfortent. A ta détermination et ta douceur. A tes sautes d’humeur et tes silences typiquement miens. A ton ouïe qui sait saisir la note, à ta sensibilité qui devine l’humanité sous ses maints visages et qui ne s’arrête jamais aux considérations loufoques des gens bornés. A ta volonté de mieux comprendre le monde et de combattre l’ignorance et le désintérêt. A toi, mon fils, toi qui ce soir me laisses béate et fière. A toi qui a compris bien jeune, bien trop jeune et à la dure que la différence est une richesse et que la diversité est le socle d’une société en santé. Jamais, au grand jamais n’aurais-je pensé que tu choisirais la chanson qui suit pour ton récital de fin d’année. Qui aurait dit que le poupon prématuré qui a failli être six pieds sous terre il y a bientôt treize ans puisse devenir le merveilleux et sensible jeune homme que tu es devenu. Je t’aime, je t’adore and may life be a path where you could blossom every day no matter how bumpy the road is. A toi, dont le prénom signifie celui dont Il s’est souvenu, may you continue challenging me and surprising me.
Strange Fruit, paroles de Lewis Allen formidable interprétation de Billie Holiday
Southern trees bear strange fruit,
Blood on the leaves and blood at the root,
Black bodies swinging in the southern breeze,
Strange fruit hanging from the poplar trees.
Pastoral scene of the gallant south,
The bulging eyes and the twisted mouth,
Scent of magnolias, sweet and fresh,
Then the sudden smell of burning flesh.
Here is fruit for the crows to pluck,
For the rain to gather, for the wind to suck,
For the sun to rot, for the trees to drop,
Here is a strange and bitter crop.
suis emue par cette superbe declaration d’amour..Ci beau comme tout. Allah yikhellih lik Loula.xoxo
NajNaj, Zwina dialna, comment vas-tu ma belle? Les parents, du moins à ma connaissance, vouent un amour inconditionnel que leurs enfants leur rendent bien. Mia a pour coutume de dire Koune merdi wladek et elle a totalement raison:-)C’est pour quand le retour?Big mwah
mmh aucune idee ma Loula, my path is blurry but i believe in my star
NajNaj, mabrouk:-) I believe in your star too, tu vas cartonner:-)Mwah
C’est très émouvant ma loula, allah yekhellihlek.
il est beau, plus beau que le mythemais il m’enerve car il nargue les idoles de son pèreil m’enerve aussi car il me bat dans la playstation, et pourtant il n’ a pas le permisil m’enerve enfin, car il ne veut pas realiser les reves évaporés de son père, ces rêves que j’ai projeté en lui..et pourtant c’est mon mythe à moije t’aime fistongros naze va
Manal merci ma belle! Je te souhaite tout le bonheur.Le Mythe, je ne pouvais dire mieux! Ils sont beaux tout simplement.
je vais plastiquer :))BIG MWAH LOULA
Et laminer:-)Mwah adorable NajNaj