« Une jeune femme est morte dimanche des suites de ses blessures après avoir été égorgée en pleine rue à Settat par un prétendant dont elle ne voulait pas. Le malheureux est qu’elle avait, de son vivant, déposées plusieurs plaintes auprès de la police qui sont restées lettres mortes! » Imane Bouhara
Combien de femmes devront-elles encore être victimes de coups, de blessures ou mourir de ces derniers avant que les autorités marocaines commencent à prendre le problème au sérieux? Combien de plaintes devront restées ignorées avant que les autorités prennent au sérieux ce cancer qui gangrène la société? Combien de femmes faudra t’il admettre dans les salles d’urgence? Combien de corps faudra t’il accueuillir à la morgue avant que les autorités et notre société ne prennent que la violence est parmi nous? Faut-il qu’il y ait meurtre pour que les policiers, payés par les contribuables marocains, ne se manifestent? Quand donc les autorités se mettront-elles à protéger les citoyennes et les citoyens? Quand donc abandonnera t’on cette indifférence et ce mépris envers l’autre qui nous caractérise en tant que société? Quand donc dirons-nous d’une seule voix: NON À LA VIOLENCE ENVERS LES FEMMES? Il est triste qu’un tel drame se produise juste quelques semaines avant la Chaîne humanitaire en solidarité avec les femmes victimes de violences fondées sur le genre (8 décembre 2012). BASTA!
merci imane!
c’est une histoire terrible….vraiment combien de temps doit passer avant que les autorités sont activés?