Il a contribué à faire aimer l’opéra. Il disait qu’il vivait son rêve d’enfant. Chanter était son oxygène. Il y a eu tellement de ténors, mais un seul Pavarotti. Une voix limpide, des notes très hautes. Mon père m’avait fait écouter La Traviata et ce fut le coup de foudre.
Arrivederci, Pavarotti!
06 jeudi Sep 2007
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