Passant et passante,

Une autre année achève. Il s’en est passé bien des choses en 365 jours. Des gens sont morts, des enfants sont nés. Plusieurs ont été emprisonnés, d’autres lâchement assassinés. Des guerres n’ont toujours pas fini et bien des conflits n’ont pu être réglés. Le nouvel ordre mondial envisagé par un certain paternel est devenu une terrible boîte de Pandore dans les mains de Junior qui, telle la déesse, n’en fit qu’à sa tête et engendra des crises et des guerres dont les répercussions seront ressenties d’ici cent ans si ce n’est plus.

L’ère du verseau s’est avérée être aussi meurtrière que les autres ères. L’Homme, ce spécimen, que l’on veut intelligent et humain est capable de merveilleuses inventions et découvertes, mais il est aussi capable des pires atrocités.

Il me reste tant à exprimer, mais les mots ne viennent plus et je ne leur en veux absolument pas.

Puisse donc cette année grégorienne vous être des plus bénéfiques. Puissiez-vous chacune et chacun vivre des moments de pure félicité avec vos proches. Et puisse chacun de vos pas et décisions dans ce sentier incertain qu’est la vie être une traînée d’étoiles dans la vie de ceux que vous aimez.

A vous qui passez par ici, à vous qui prenez la peine de vous manifester sur cet espace, tous mes voeux de bonheur et santé et que vos rêves les plus fous puissent être exaucés. A vous que je lis, à vous qui m’émerveillez de vos mots, de vos passions, de vos coups de gueule, continuez de donner aussi généreusement. Car si il y a toujours une petite part de narcissisme dans nos démarches il n’en demeure pas moins que c’est aussi et avant tout le sens du partage qui anime cette magnifique blogosphère. Du Maroc, de France, de Belgique, de Tunisie, du Chili, des US of A, du Canada, du Brésil, de l’Argentine, du Vénézuela, de Cuba; chacune et chacun d’entre vous a ouvert une myriade d’univers et grâce à vous j’ai pu voyager, rire, sourire, m’émouvoir aux larmes, m’informer                     et apprendre.
Un grand mwah à chacune et chacune d’entre vous. Vous nommer serait bien long, mais je sais que vous vous reconnaitrez toutes et tous.

Une petite photo pour Lallahoum que j’aurais bien aimé être des nôtres durant ce congé. Mais nous nous reprendrons ce printemps, n’est-ce pas? 😉